18 sept. 2007

C’est le "hyper" qui fait toute la différence

Par où commencer.

- Prélude -
L’hiver dernier, j’ai fait sur la rue Ste-Catherine une rencontre tout à fait inopinée. C’est qu’en fait je suis tombée tout à fait par hasard sur " l’ancien-ami-du-secondaire-ex-copain-d’une-autre-bonne-amie-vue-trop-rarement-avec-qui-on-passe-quelques-soirées-pour-finalement-réaliser-que-le-tout-ne-mène-à-rien-et-qu’en-plus-le-mec-se-sauve-pour-trois-mois-expier-tous-ses-démons-à-l’autre-bout-du-monde (sans prendre la peine de dire au revoir)-et-apprendre-peu-après-son-retour-que-le-couple-qui-n’en-était-plus-un-a-depuis-peu-redonné-vie-à-ses-anciennes-amours-et-de-garder-de-toute-l’aventure-un-souvenir-plutôt-amer. " Voyez le portrait.

- Chapitre 1 -
Jeudi dernier, je devais me rendre à un 5 à 7 au " Edgar Hypertaverne ", un bar où les jeunes messieurs et les jeunes mesdames tout pimpants et fringuants sortent prendre un verre après le travail. Juste avant de sortir de chez moi, je reçois un téléphone d’un autre ami perdu de vue qui a appris récemment mon retour à Montréal. C’est donc bien étonnée et enchantée que je l’invite à se joindre à moi pour la soirée.

- Chapitre 2 -
Toujours est-il que nous buvons une, puis deux bières à cette taverne hyper " j’ai mis mon plus beau kit aujourd’hui pour flasher solide au 5 à 7 ", pour ensuite nous joindre à une seconde soirée organisée par des amis universitaires, et puis y boire une, puis deux, puis trois bières. Et pour finalement terminer cette bien agréable soirée sur la piste de danse du Café Campus, la bière toujours fidèle au rendez-vous.

- Conclusion -
Dimanche, à mon retour à Montréal, le nouvel ancien ami m’invitait à passer la soirée en sa compagnie. Devinez maintenant qui est plus précisément ce mystérieux jeune homme? L’ex-meilleur-ami-au-monde-entier-du-premier-ami-malotru-qui-en-fait-ne-voit-plus-ce-dernier-leur-relation-s'étant-plutôt-mal-terminée-à-la-suite-de-plusieurs-malentendus.

Ça n’arrive qu’à moi.

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