Samedi matin prochain, 7 h, je prends mon vol Montréal-Toronto/Toronto-HongKong/HongKong-Saigon.
8 cafés;
5 contrôles de bagages - pour une raison obscure, je suis constamment sélectionnée pour les fouilles "aléatoires" (ah, je me demande si je passerai cette fois-ci dans la-machine-qui-permet-de-voir-à-travers-les-vêtements-dont-tout-le-monde-parle);
3 films (2 bons et 1 mauvais, selon mes statistiques personnelles);
au moins 6 repas servis dans une boîte grande grande comme la moitié de mon "lock and lock", mais qui arrive à contenir une salade de pâtes inondée de vinaigrette, une viande douteuse ensevelie sous une sauce caoutchouc pour en cacher le goût, des légumes mous, du riz dur, un pain, un beurre, un petit gâteau aux carottes pas si bon mais qu'on mange pareil parce que ça passe le temps et que, bah, ça reste un petit gâteau aux carottes mangeable, un couteau, une fourchette, une cuillère, une napkin, une petite serviette humide pliée en 12, une tasse vide - pour l'instant, on n'a pas encore passé le thé et le café -, un lait, une crèmette, 2 sachets de sucre mi-chauds, le tout à l'épreuve des turbulences et des coups de coude du voisin - NON MAIS COMMENT ÇA S'PEUT??;
17 envies refoulées de lever les bras au ciel et de crier "Mais pourquoi le suit de jogging mono-couleur a-t-il été inventé!?";
et plusieurs tentatives de sommes infructueuses plus tard, je devrais mettre les pieds au Vietnam.
Nous serons alors dimanche, 17 h 50, heure locale, et il nous faudra, Catherine et moi, nous rendre à la chambre que nous prête mon ami Guillaume pour quelques jours.
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